Johan Niveau 2
Messages : 52 Réputation : 58 Date d'inscription : 14/11/2014 Feuille de personnageInfos Rapide: Compétences: Expérience: (0/80)
| Sujet: Re: Le bosquet des plaines ensoleillées [PV Johan Sanna] Dim 7 Déc - 18:34 | |
Le bosquet des plaines ensoleillées
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Je marchais sans vraiment savoir où j'allais, le temps était parfait pour une balade et je n'avais aucune quête à faire aujourd'hui, je décidais de faire une journée de congés. Depuis mon arriver, chaque jour, je faisais une quête, un peu de repos ne me ferais pas de mal. Sans m'en rendre compte je m'étais retrouvée en dehors du village, comme toujours, il n'y avait personne sur le chemin, les gens préféraient resté cacher aux villages, seuls quelques personnes assez courageuse s'aventuraient dans la forêt, ou des PNJ kamikazes. Je ne comprenais pas, dans cette partie du jeu, la mort est impossible, alors pourquoi personne n'allait dans la forêt ?
Je commençais à siffloter, le soleil me réchauffant quelque peu et jouant en sautant de pavé en pavé, j'étais de bonne humeur, aujourd'hui rien ne pourra m'empêcher de passer une bonne journée. En regardant mes pieds, pour faire attention à ne pas tomber, le sol devint en bois, je levais la tête. Je passais sur un pont, l'eau passant en dessous était remplit de têtard dansant dans tous les sens et des criquets qui montrait leurs belles voix. Le soleil se reflétait dans l'eau, j'avais eu, jusqu'à présent, des endroits, où, le soleil ne passait pas dans les branches qui donnaient une atmosphère assez lourde où tu te sentais observé de tous les côtés, la hache à la main. Mais là, bizarrement, je ne sentais aucune présence autour de moi, je me sentais en paix, ma hache dans mon dos, je ne sentais pas le besoin de la prendre à la main.
En marchant, j'étais tombé sur un bosquet, je tournais autour, me demandant si, en entrant à l'intérieur, il y aurait des animaux. Si c'était le cas, ce soir je n'allais pas gaspiller mon argent, je pourrais manger quelque chose au feu. Le vent faisait bouger quelques peu les feuilles des arbres, mettant par la même occasion mes cheveux devant mes yeux, j'avançais en remettant mes mèches en ordre quand je vis quelqu'un allongé dans l'herbe. En premier lieu je courais vers lui, croyant qu'il était blessé, en étant à son côté, je compris qu'il était juste allonger dans l'herbe, mais je préférais lui demander :
"Est-ce que ça va ?"
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